11 mars 2016
pour samedi et autres jours
Pak Ji-won arrive en Chine en 1780, ébloui par la beauté de la Pagode blanche,il sent le plaisir d'être en vie et il écrit:
".....il peut étendre ses membres , crier tout son content, entendre sa propre voix, de plus il voit la lune et le vaste monde tout brillant....si une telle joie dure jusque dans la vieillesse, il n'y a aucune raison d'être jamais triste ou fâché, on devrait au contraire rire et se réjouir à longueur de journée. Mais en réalité, constate t-il avec regret, nous sommes constamment en train de nous plaindre et de brailler, comme si le ressentiment était la seule émotion à trouver place dans notre coeur...." (paysage d'hiver, extrait p153)
beau samedi à vous
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